La Société canadienne du sang lance un outil interactif pour attirer les jeunes donneurs


L’organisation se dote d’un assistant virtuel, une première mondiale parmi les fournisseurs de sang

OTTAWA – La Société canadienne du sang, en partenariat avec EY, a annoncé la création d’un assistant virtuel, ou agent conversationnel, pour interagir avec les donneurs par Facebook Messenger. L’organisme canadien est le premier de tous les fournisseurs de sang dans le monde à utiliser un tel outil. Il espère ainsi rejoindre les jeunes donneurs potentiels et les sensibiliser aux besoins en sang afin qu’ils intègrent le don de sang à leurs habitudes de vie.

« L’assistant virtuel est un outil interactif sympathique. Il attirera de nouveaux donneurs de la jeune génération qui seront là pour rester. Le moment est d’autant bien choisi que nous avons besoin de plus de donneurs en ce moment en prévision de l’été », précise Mark Donnison, vice-président aux relations avec les donneurs.

L’agent conversationnel aidera les utilisateurs de Facebook Messenger à comprendre comment se passe un don de sang et qui en bénéficie. Il encouragera aussi les gens à prendre rendez-vous en ligne ou en appelant le Centre national d’appels.

« Nous sommes très enthousiastes et aussi très fiers d’être des pionniers de ce mouvement numérique, déclare le chef des technologies de l’information, Ralph Michaelis. Conçu avec l’équipe des services numériques d’EY, l’agent conversationnel est un autre exemple de notre volonté d’utiliser des technologies numériques novatrices pour rejoindre et intéresser les donneurs, qu’on parle de nouveaux donneurs ou d’habitués. »

Les donneurs peuvent converser avec l’assistant virtuel de la Société canadienne du sang sur la page Facebook de l’organisation.

« EY est honorée de collaborer avec la Société canadienne du sang pour l’appuyer dans sa mission de sauver des vies. Nous sommes heureux de l’aider à maximiser le pouvoir des plateformes de messagerie et les interfaces conversationnelles pour rejoindre les donneurs et les intéresser par des moyens novateurs », se réjouit Keith Strier, responsable des offres de solutions numériques et d’intelligence artificielle pour la zone Amériques chez EY.

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